Fondation Bon Sauveur d'Alby

Éric Ducomet - 1/5

Graves dérives et dysfonctionnements sont monnaie courante dans certains services en "roue libre". Totale immunité des psychiatres qui peuvent se permettre de rédiger des certificats médicaux aussi mensongers qu'ils le souhaitent, et tout est fait pour isoler et séparer les familles et les conjoints afin de placer un maximum de monde directement sous curatelle renforcée, au frais des patients, il s'agit d'un énorme business de captation des patrimoines et des héritages des personnes hospitalisées, même si parfois c'est nécessaire car beaucoup de malades sont incapables de se gérer, sauf que la méthode est systématique, et que les sociétés de curatelle privées sont très souvent défaillantes au quotidien et pendant des semaines, vacances, maladies, stages de formation etc laissant les personnes sans ressources ni recours. De toute façon on ne peut rien contre la mafia des hôpitaux psychiatriques, même pas leur demander d'essayer de soigner vraiment...

Mikaché Michouchou - 1/5

Depuis le mois de mars, les parcs et jardins des hôpitaux psychiatriques ne voient plus aucun malade en promenade ou se rendant à la cafétéria de l'hôpital, car depuis le mois de mars toutes les permissions normales et habituelles de sortie ont été supprimées pour cause de mesures de restrictions sanitaires décidées par la direction. Depuis le mois de mars, les patients cristallisent à l'intérieur des services sans voir le jour, et si on ajoute à ça qu'il est devenu très difficile pour les familles et amis des patients d'obtenir un droit de visite, afin de pouvoir s'assurer que leur proche est bien soigné et bien traité, celà fait courir un risque important à tous les malades qui doivent en cette période de pandémie furtive souffrir encore plus de l'enfermement. Je prie pour tous ceux qui à l'intérieur des asiles modernes, ont vu disparaître les derniers droits, libertés et soupapes de décompression qui étaient encore à leur portée, dans le...

Mathilde Carayon - 1/5

J'avais un truc à dire sur la façon dont vous soignez les personnes comme Mathieu Carayon au Bon Sauveur et dans la psychiatrie de ce pays mais j'ai oublié quoi. Arrangez-vous avec votre conscience.

Lionel Dos Angos - 1/5

Séjour en 2016. Mauvais souvenir. Absence totale du moindre confort, froid en demi saison, chauffage éteint, faim aussi quand on n'a pas les moyens de compléter le menu en se bourrant de bonbons, gâteaux et chocolats à la cafétéria. En cas d'entorse ou d'épanchement de sinovie, il faudra boiter jusqu'à chuter et ne plus pouvoir se relever pour avoir droit à un bandage, une attelle ou des béquilles, car pas de somaticien disponible tout de suite, et jamais le weekend, du vendredi 14h au lundi matin, donc quand vous êtes déjà par terre, on vous demande d'abord d'arrêter votre cinéma, même si ça fait 2 jours que vous souffrez et demandez un soin. Bon courage aux patients et aux infirmiers méritants, pris entre les malades difficiles, les psychiatres méprisants, et la montagne de règlements administratifs qui en réalité ne sert à rien, et surtout pas à assurer la qualité des soins, encore moins le droit des patients, tout simplement inexistants.

Olivier Boucher - 5/5

Que du bon sur Toulouse.. Pas de pluie pendant un instant... Je sors... Suspense. Mmmmm